18 research outputs found
Saxony's capital Dresden: On the way to become Eastern Germany's first Innovative Milieu?
In this paper, the chances of Saxonys capital city Dresden to become Eastern Germanys first high-tech-region is discussed. A presentation of the theoretical background of innovative milieux is followed by an overview of the regions universities, R&D institutes and other facilities relevant for milieu formation. Afterwards, the establishment of high-tech enterprises in the Dresden area is analyzed. The paper concludes giving a view of the regions further development potential. --
Der Aufbau der ostdeutschen Infrastruktur und sein Beitrag zur wirtschaftlichen Entwicklung in Sachsen
This discussion paper deals with the reconstruction of transportation and telecommunication infrastructures in Eastern Germany and especially Saxony after the 1990 unification. Following a representation of investment measures and their influence on capital stocks in transportation infrastructure the author discusses the infrastructural situation of Saxonys three main agglomerations Dresden, Leipzig, Chemnitz and their location in European economic space. Concluding the paper Saxonys integration into the system of Transeuropean Networks and their planned extensions into Central and Eastern Europe is briefly examined. --
Fiscalité des PME : les effets pervers de la réforme
Le principal objectif de la rĂ©forme de fond de la fiscalitĂ© des entreÂprises entrĂ©e en vigueur le 1er janvier 2008 (Loi Unternehmenssteuerreformgesetz du 14-08-2007) Ă©tait dâabaisÂser le taux dâimposition des sociĂ©tĂ©s de capiÂtaux qui, avec quelque 40 %, Ă©tait trĂšs Ă©levĂ© en comparaison internationale. De nomÂbreux Etats avaient rĂ©duit la charge fiscale peÂsant sur leurs entreÂprises, et le gouverÂnement allemand devait rĂ©agir Ă cette concurrence accrue entre les sites de proÂduction. La rĂ©forme visait donc Ă raÂmener Ă 30 % le taux global de prĂ©lĂšveÂment sur les sociĂ©tĂ©s de capitaux, sachant quâen RFA celles-ci sont souÂmises Ă deux types dâimpĂŽts : lâimÂpĂŽt sur les sociĂ©tĂ©s (KörperschaftÂsteuer), uniÂforme sur lâenÂsemble du territoire et dont Bund et LĂ€nder se parÂtagent le produit Ă Ă©galitĂ©Â ; et la taxe proÂfessionnelle (Gewerbesteuer) qui reÂvient en propre aux communes et dont celles-ci sont libres de fixer les taux. Or 83 % des entreprises du Mittelstand ne sont pas des sociĂ©tĂ©s de capitaux, mais des sociĂ©tĂ©s de personnes dirigĂ©es par le propriĂ©taire. Leurs bĂ©nĂ©fices sont imposĂ©s selon le barĂšme de lâimpĂŽt sur le revenu applicable Ă leur(s) proÂpriĂ©Âtaire(s). Sây ajoute la taxe professionnelle, bien que celle-ci soit dĂ©ductible de lâIR, et ce, en grande partie dĂšs avant la rĂ©forme de 2008. Or en abaissant le barĂšme pour les sociĂ©tĂ©s de capitaux, on risquait de provoÂquer une hausse sensible de la charge pesant sur les sociĂ©tĂ©s de personnes (sauf les TPE). Pour y reÂmĂ©dier, la loi de rĂ©forme abaissa le barĂšme de lâimpĂŽt sur les bĂ©ÂnĂ©fices non distribuĂ©s et amĂ©liora les conditions permettant de dĂ©duire la taxe professionnelle de lâIR. Selon les prĂ©visions, ces amĂ©nagements se seraient traduits par une baisse de 9 milliards ⏠de lâencours fiscal. Or la Grande coalition avait dĂ©cidĂ© de plafonner celle-ci Ă 5 milÂliards âŹ. Diverses mesures Ă©largissant lâassiette des prĂ©ÂlĂšvements et censĂ©es gĂ©nĂ©rer un apport de 3,8 milliards ⏠furent donc adopÂtĂ©es, dont princiÂpalement des rĂšgles moins favorables pour les amortissements et lâinÂtĂ©gration des baux et intĂ©rĂȘts dans le calcul des revenus imposables. LâimÂpact rĂ©el de ce nouveau rĂ©gime sera toutefois plus que dĂ©licat Ă Ă©valuer, la crise mondiale ayant frappĂ© lâĂ©conomie allemande Ă la fin 2008 ; elle comprime les recettes fiscales bien plus drastiquement que lâaurait fait la seule rĂ©forme. Les estimations chiffrĂ©es des effets du nouveau rĂ©gime rĂ©vĂšlent nĂ©anmoins que lâobjectif dâun barĂšme de 30 % nâa pas rĂ©ellement Ă©tĂ© atteint. Le taux pesant sur les sociĂ©tĂ©s de capitaux sâĂ©lĂšve actuellement Ă 31 % en moyenne ; la diffĂ©rence provient pour lâessentiel de ce que le gouvernement fĂ©dĂ©ral a sous-estimĂ© le baÂrĂšme moyen de la taxe professionnelle communale. Bien plus important enÂcore est lâĂ©chec de la rĂ©forme en ce qui concerne les sociĂ©tĂ©s de personnes, pour lesÂquelles le taux sâĂ©lĂšve Ă 37,6 % mĂȘme lorsquâelles thĂ©saurisent ou investissent la totaliÂtĂ© de leurs bĂ©nĂ©fices. La raison principale en est que les bĂ©nĂ©fices non disÂtribuĂ©s sont assimilĂ©s fiscalement Ă des dividendes, donc soumis Ă lâimpĂŽt sur le reveÂnu. Les experts fiscaÂlistes critiquent Ă©galement les mesures visant Ă contre-financer la rĂ©Âforme, en particulier cette « limite dâintĂ©rĂȘts » (Zinsschranke) qui rĂ©Âduit la dĂ©ductiÂbilitĂ© des intĂ©rĂȘts lors du calcul de lâassiette imposable..
Die Entwicklungsaussichten stÀdtischer Regionen im europÀischen Vergleich - "European Regional Prospects"
Die kĂŒrzlich vorgestellten "European Regional Prospects" von ERECO fĂŒr die Regionen der EU-LĂ€nder und der Beitrittskandidaten Polen, Tschechien und Ungarn zeigt fĂŒr den Zeithorizont bis 2005 die gĂŒnstigsten Perspektiven fĂŒr Regionen auĂerhalb Zentraleuropas. Eine generelle Verlagerung des wirtschaftlichen Schwerpunktes in europĂ€ische Randlagen lĂ€sst sich daraus jedoch noch nicht ableiten.Stadtregion; Regionale Entwicklung; Prognose; Europa
BĂŒrokratieabbau: Ein geschlossenes Konzept fehlt
Ăber die Notwendigkeit eines BĂŒrokratieabbaus sind sich BĂŒrger, Politiker und Wissenschaftler grundsĂ€tzlich einig. Doch ĂŒber die Details einer EntbĂŒrokratisierung wird hĂ€uïŹg gestritten. Wie sind BĂŒrokratiekosten zu messen? Welche Formen von BĂŒrokratieproblemen gibt es? Wie sollte eine exzessive BĂŒrokratisierung bekĂ€mpft werden? --
Fiscalité des PME : les effets pervers des réformes de 2008/09
Le gouvernement de Grande coalition (2005-2009) sâĂ©tait attelĂ© Ă une rĂ©forme de fond de la fiscalitĂ© des entreprises pour abaisser le poids des prĂ©lĂšvements pesant sur lâactivitĂ© productive. Mais la loi entrĂ©e en vigueur en 2008 sâattire les critiques des experts : elle privilĂ©gie les sociĂ©tĂ©s Ă capitaux, favorise le recours au capital externe, dĂ©favorise les PME et rend le code fiscal allemand encore plus complexe quâil ne lâest dĂ©jĂ . Enfin, son articulation avec la loi de rĂ©forme de lâimpĂŽt sur les successions entrĂ©e en vigueur un an plus tard se rĂ©vĂšle elle aussi problĂ©matique par les contraintes quâelle impose au successeur. Etat des lieux des principaux griefs formulĂ©s par les Ă©conomistes Ă lâĂ©gard dâune rĂ©forme qui, Ă peine adoptĂ©e, est considĂ©rĂ©e comme pour le moins perfectible